Pour la rejoindre il
nous a fallut revenir sur Irkoustk.
C’est un peu
dommage car nous avions déjà fait une partie du chemin.
Mais il n’y a pas
de route au départ de Listvianka. Comme ça la question est réglée.
Je vais essayer de
vous retracer cet évènement parce que c’est un vrai évènement.
Je dirai même une expédition.
Donc, départ le
matin de Listvianka en minibus pour rejoindre Irkoustk. Celui-là,
on connait et on gère. Rien d’extraordinaire.
Pendant le voyage,
je reçois un petit coup de fil d’un ami qui est arrivé à
Irkoustk dans la nuit et qui nous rejoint à la gare des bus pour un
petit coucou.
C’est super sympa
et agréable de le voir là.
Merci mon Louic !
Cela vous permet de jeter un œil sur la logistique que demande un tel voyage en famille.
Maintenant il faut transférer les bagages d’un véhicule à l’autre.
Quand je vous dis que ça ressemble à l’Equateur… Les bagages voyageront sur le toit.
La différence c’est que là tu ne mets personne sur les bagages.
Heureusement le rhum et le samagon ne gèle pas, par contre les fringues un peu.
Dans le bus, nous sommes quatorze. Une bonne ambiance s’installe, on a même eu droit à un petit concert de violon et des chansons d’une des enfants présente.
Il ne manquait que les poules et les cochons pour avoir une nouvelle ressemblance.
Nous avons pu admirer des paysages impressionnants.
D’accord. J’avoue qu’avant d’apprécier, cela demandait un effort régulier et constant.
Après 4h30 de
voyage, avec une pause pour manger bien sûr, nous sommes arrivés
sur le bord du lac Baïkal.
C’est Superbe !!!
Une fois de plus, on
décharge les valises et on attend le prochain transport.
On a un peu de
temps, donc petite ballade dans les environs.
Les paysages sont
magiques, le lac est entièrement gelé de ce coté.
Et regardez bien ce
sont des vrais. Mon instinct de pisteur me dit qu’elles datent
d’hier.
Nous ne craignions
rien… pour aujourd’hui.
Je vois notre
transport arriver, je redescends de la montagne, non pas à cheval
mais à pied.
Et là, un instant
magique…de plus.
Un mec arrive sur
son oural.
Pas le
temps d’aller le voir...Dommage
Il est temps de
prendre l’aéroglisseur qui va nous emmener sur l’ile.
Un peu serré à
l’intérieur, les bagages sont partout dehors et dedans.
Nous arrivons sur
l’ile.
Mais le voyage n’est
pas fini. Il nous reste encore une bonne heure de bus.
Et nous avons eu
beaucoup de chance… nous avons pris la navette des ouvriers du
port.
A quinze dans un bus
de neuf places.
Le voyage a
été…folklorique je dirai. Et d’ailleurs je n’en dirai pas
plus !
Mais nous arrivons
enfin à destination.
Nos quartiers sont
superbes et il y fait chaud.
...
Salut, quel courage, rien que de regarder votre périple je suis gelé.. Toute la famille se joint à moi pour vous souhaiter une bonne année 2013,
RépondreSupprimerau plaisir de vous revoir
bises à tous
Stéphane
Salut Stéphane.
RépondreSupprimerJe reprend un peu les messages en arrière parce que je me suis rendu compte avec le voyage et les connexions aléatoires que j'ai loupé quelques commentaires.
Bises et meilleurs voeux à toute la famille bien sûr!